Revue de web #16

Côté com :

– Le nouveau logo bio de l’UE a été choisi. On en parle sur Actu-environnement et cdurable, entre autres. La question que je me pose, c’est : à quel stade y n’y avait-il pas les professionnels qui auraient dû être présents ? Pour un logo, le critère n’est pas « joli » ou « pas joli », il est d’exprimer visuellement l’identité de la structure, avec force, simplicité et justesse. Ici, ce n’est absolument pas le cas. Autant la constitution du jury que le principe d’une création par des néophytes me semblent en cause. Autant un logo professionnel coûte cher, autant celui-ci est de l’argent jeté par les fenêtres.
Les réseaux sociaux, un truc d’ados ? (à avoir dans un coin de la tête pour choisir ses médias)
Posters, post’air…
Et s’il devait n’y avoir qu’une seule action en « social media »… combien d’entreprises ont une vraie conversation avec leurs utilisateurs ?
– Une campagne de Lerclerc sur le thon rouge, qui n’est pas du goût de Greenpeace. Attitude de plus en plus fréquente des greenwashers : toutes les explications sont présentes, mais il faut les décrypter pour saisir l’ampleur de la supercherie…
Une campagne de co-branding SFR/Alter Eco qui me semble manquer sa cible, et n’est positive ni pour SFR ni pour Alter Eco.

Côté DD :

Éloge de la cohérence.
Les 7 péchés du greenwashing appliqués aux technologies de l’information : ce n’est pas parce que c’est un nouveau secteur qu’il ne faut pas se poser de question… il y a tout de même quelques projets intéressants, type free cooling.
– Un petit mot quand même sur la controverse du moment, celle qu’a lancée Élisabeth Badinter avec son livre Le conflit. La femme et la mère. Et qui en laisse certaines vertes de rage. Et in fine, on en revient encore au fameux conflit (qui ici est aussi un conflit d’intérêt) : peut-on être écolo et publicitaire ?
Un projet open source pour le développement durable, qui me permet de réaffirmer la parenté naturelle entre développement durable et logiciels libres (et culture libre plus généralement). À rapprocher d’une autre bonne idée, une tribune dans la Tribune, qui prône un Copenhague sur le modèle de Wikipédia.
The Story of Stuff, vous connaissez ? Une vidéo brillante, et bientôt un livre !
Les OGM reculent en Europe, tant mieux mais ce n’est qu’une étape… D’autant qu’un rapport indique qu’une des grandes promesses des OGM serait un peu exagérée.
120 installations nucléaires arrêtées : on en fait quoi ? (le titre est trompeur, en fait il y a actuellement 14 centrales arrêtées en France, mais la question reste entière !)

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